Biofluides: l’énergie passe au vert

Le 23/08/2012 à 16:38 par La rédaction

Dans un guide de bonnes pratiques publié récemment, le « Club Biogaz » fait le point sur les solutions techniques accessibles pour le développement de la filière et revient sur l’importance d’adopter une démarche sérieuse et crédible qui conditionnera l’acceptabilité des projets. Pour une maîtrise économiquement raisonnable des enjeux énergétiques, environnementaux et sociaux de façon à être crédible auprès des instances politiques, associatives et des investisseurs.

«Eclairer les porteurs de projet sur les facteurs pouvant influencer ou conditionner l’acceptabilité sociale des projets de méthanisation. » L’objectif premier du « Guide de bonnes pratiques pour les projets de méthanisation » récemment édité par le « Club Biogaz » en dit bien plus long qu’il y paraît. En décidant de le rédiger, ce club créé en 1999 par l’association technique énergie environnement (ATEE), et qui rassemble les principaux acteurs français concernés par le biogaz, met l’accent sur une problématique fondamentale. La référence a une « acceptabilité sociale » s’ancre dans un historique particulier, que l’on retrouve d’ailleurs dans l’essence même du club dont la vocation est de réunir les acteurs de la filière « afin d’identifier et lever les obstacles au développement harmonieux de l’énergie biogaz. » Sans remonter aux origines, le propos du guide apporte un éclairage fort intéressant sur la situation actuelle. En cette période charnière pour le développement des énergies renouvelables, la méthanisation recèle un potentiel important par sa double capacité de valorisation énergétique des déchets organiques et de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Pourtant, si le procédé de méthanisation est utilisé dans le Nord de l’Europe depuis de nombreuses années, il a connu en France un développement très mesuré et principalement axé sur le secteur des boues d’épuration urbaines et industrielles. Sous l’effet de la directive européenne du 19 novembre 2008 sur les déchets et des incitations financières, ce procédé fait aujourd’hui l’objet d’un fort regain d’intérêt, surtout dans le monde agricole. La méthanisation devrait donc contribuer à atteindre l’objectif du Grenelle de l’environnement de 23 % d’énergie renouvelable en 2020.

« Mais si l’équilibre économique est aujourd’hui moins incertain, c’est l’acceptabilité de ces projets par le public qui pourrait constituer un frein au développement

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de la filière », soulignent les auteurs, qui ajoutent : « En effet, les projets de méthanisation se heurtent à des oppositions de collectivités ou de riverains soucieux de ne pas être exposés à des risques d’explosion, ou de pollution olfactive, visuelle ou chimique. Ces craintes sont compréhensibles, mais d’autant plus incohérentes que les solutions existent, sur un plan pratique et technique, avec des installations adaptées et une optimisation des procédés, la preuve en étant le bon développement de cette filière dans les pays voisins. »

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