Le relevage côté Side avec le « Dip Système »

Le 06/10/2014 à 9:30 par La rédaction

Spécialiste du relevage des fluides difficiles depuis vingt-cinq ans, la société Side Industrie développe une approche permettant de relever des effluents bruts, propre, sans odeurs, ni gaz et sans nettoyage, grâce au concept breveté et baptisé « Dip Système » du « pompage en ligne directe sans rétention ». Fabriqué en France dans son usine de Seine-et-Marne, celui-ci a été lancé sur le marché en 2003. Retour sur expériences.

Avec aujourd’hui plus de 1 200 références, en rénovation de postes existants comme en création de nouvelles stations de relevage, le « Dip Système » est une solution particulièrement destinée aux collectivités souhaitant moderniser ou étendre leurs réseaux de collecte d’eaux usées, tout en supprimant les volumes de marnage et de rétention. Ces stockages, nécessaires à tous les autres systèmes de pompage, engendrent, en effet, des opérations de curage régulières toute l’année, et provoquent des plaintes des riverains contre les odeurs . Par ailleurs dangereux pour les techniciens de maintenance, ceux-ci créent des accumulations de déchets, de sable et de graisse, qui sont souvent à l’origine des avaries des pompes. A l’inverse, Side Industrie souligne que la solution « Dip Système » apporte le confort d’intervention, la sécurité et les économies à long terme - énergie comprise -, en ne nécessitant qu’un suivi de fonctionnement, qui, de surcroît, peut être réalisé par le service d’auto-surveillance « Omni Dip » : « Ce système a été conçu pour répondre aux exigences modernes : réduction de maintenance curative ; augmentation de déchets fibreux (lingettes) ; respect de l’environnement et des conditions de travail ; et diminution des coûts globaux. » C’est pourquoi tout en évitant les fosses de rétention odorantes et coûteuses en entretien, sa conception chaudronnée inox intègre un piège à cailloux
avec trappe de visite, différentes formes d’impulseur (Vortex conique, Canal ouvert , Multicanaux ou « Dip Cut »), un refoulement commun, et un corps commun chaudronné rechargeable.

Retrouvez la suite de cet article dans le Journal des Fluides n°63 – août/septembre 2014.